E.L. Ethnologue. Photographe.
Essai visuel. Mai 2012.
La théorie des "mégalithes" de Lascaux
Si les hommes de Lascaux connaissaient Pi et le temps d'une révolution sidérale en plus d'une révolution synodique lunaire (voir mon carnet de recherche "Nouvelles perspectives mathématiques du diverticule axial"), il est probable qu'ils aient pu calculer les positions stellaires par parallaxe à partir d'un point fixe - un monolithe par exemple - et cela à partir de simples observations poussées, mises en calcul et reproduites dans la grotte.
Par exemple, la notation par points pour symboliser une révolution synodique indique une maitrise parfaite du sujet et de sa simplification.
Dans ce cas la théorie de Marcel Baudouin peinture pariétale = représentation des constellations s'avererait largement probable.
Les "mégalithes" - que je considère comme tels, meme si je suis le seul actuellement - sur les schémas, pourraient représenter le réel transcendant Pi en valeurs-symboles.
Il s'agirait donc d'une "équation" avec sa démonstration visuelle concrète.
Si on transpose le schéma de Gerald S. Hawkins (Stonehenge decoded) sur le dyptique des deux vaches en partant du principe que le centre est le mégalithe à 3 colonnes et que les 4 gros points en bas à gauche représentent les Solstices d'hiver à différentes pèriodes ainsi que les deux points à gauche du mégalithe représentent l'axe de la Lune au moment du Solstice d'hiver, on obtient une figure convaincante.
Cette observation simple, que je n'ai encore lu nulle part (!), risque de faire couler beaucoup (de jets) d'encre, je rappellerai à mes lecteurs, avant que les coups ne pleuvent, le cas du "quqdrilatère" de Crucuno, qui par ses caractéristiques métriques et astronomiques a troublé beaucoup d'observateurs.
Il s'agit d'un rectangle matérialisé par des pierres dressées dont les côtés sont orientés sur les points cardinaux et les diagonales sur les levers du Soleil aux Solstice d'été et d'hiver. Deux côtés consécutifs et la diagonale sont dans le rapport 3-4-5 ( triangle pythagoricien). (Voir mes carnets de recherches précédent).
Vous l'aurez compris, ma théorie est que les hommes de Lascaux connaissaient déjà le calcul astral calendaire que l'on a coutume de faire remonter au néolithique (voir mon carnet de recherche "Stonehenge decoded").
De plus, je pense qu'il s'agit d'un cycle de 4 ou 3 ans représenté et mis en "équation" dans le diverticule axial (voir mon carnet de recherche "Nouvelles perspectives mathématiques du diverticule axial" et son addendum).
E.L., le défricheur du temps.
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