vendredi 18 mai 2012

La théorie des Nouvelles Lunes


La théorie des Nouvelles Lunes

Ma théorie qu'il convient d'appeler à présent : la théorie des Nouvelles Lunes (lunaisons, mois lunaires, révolutions synodiques), représentées par des « points », des « marques » ou des valeurs-symboles, que j'ai mise concrètement en application dans mon déchiffrage de Lascaux, ouvre de nouvelles perspectives à l'appréhension de l'art de l'Âge du Renne et sa réelle signification.

« La première civilisation véritable de l'Europe date de l'Age du Renne. Pendant un période d'environ vint-cinq millénaires, de 35000 ans à 10 000 ans avant J-C., des tribus puissantes d'hommes physiquement semblables à nous l'ont largement occupée. » (Denise de Sonneville-Bordes, La préhistoire moderne)

Les tenants d'un « prélogisme » - dont je ne fais pas partie - ne manqueront pas d'être déroutés, les égyptomaniaques - dont je fais encore moins partie - encore plus, par les conceptions astronomiques, du temps et sa mesure qu'évoquent les valeurs-symboles que j'ai notamment déchiffré sur la baguette d'Arudy (Pierre de Rosette de la préhistoire) et que l'on peut mettre en perspective avec les recherches graphiques de Norbert Aujoulat à Lascaux.

Mais ne nous gargarisons pas de cette nouvelle lecture révolutionnaire de l'art pariétal et mobilier mettant en lumière les calendriers de l'Âge du Renne et continuons à avancer, pendant que le « paléographe » autoproclamé du CNRS tente de me mettre des bâtons dans les roues en faisant de la rétention d'information la nouvelle norme pseudo-scientifique en vogue en France, au lieu d'avoir le courage intellectuel de faire amende honorable et de s'excuser publiquement.

Voici donc de nouveaux exemples applicables à ma théorie des Nouvelles Lunes - et ils sont loin d'être les seuls chers confrères ethnographes et étudiants en recherche de sujets novateurs, en tant qu'unique spécialiste des calendriers préhistoriques, je me sens actuellement un peu seul, la nouvelle ethnologie est en manque de cerveaux bien irrigués ayant des notions claires des cycles naturels et astronomiques- :

La grotte de la Forêt à Tursac, Dordogne, sud-ouest de la France.


Le cerf gravé sur une chape d'argile durcie brame, il est en rut. À noter : la belle perspective naturelle et le détail du dessin. Sur son corps neuf symboles de Nouvelles Lunes apparaissent comme pour mon déchiffrage de Lascaux et la frise des Petits Cerfs.


Bâton orné provenant d'un des abris magdaléniens de Veyrier (Haute-Savoie) près de la frontière Suisse.



Font de Gaume, Reines affrontés polychromes







































L'Abri du Poisson

Un saumon plein et sept marques visibles (7 Nouvelles Lunes) annonçant la période de reproduction (les saumons rejoignent l'eau douce l'été pour se reproduire). À noter : à la veille de la première guerre mondiale, l'antiquaire O. Hauser avait tenté de l'enlever de la paroi pour le vendre à l'étranger.

Pour finir la merveilleuse Vénus à la corne, qui comme son nom l'indique porte une corne de bovidé dans sa main droite – marquées de treize incisions -, sans qu'aucun de nos grand clercs « paléographes » du CNRS et de l'École des chartes ne fassent le parallèle avec le renouveau du cycle solaire à la 13ème Nouvelle Lune, comme je l'ai déjà expliqué en vidéo pour mon déchiffrage de la baguette d'Arudy.

Pour le symbolisme du bovidé et de la déesse-mère, vous pouvez consulter ma revue de 2011.

Ethnologiquement vôtre.

E.L., le défricheur du temps et l'homme qui a déchiffré la baguette d'Arudy.










Présentation de l'auteur :

E.L. est un ethnologue français et un chercheur indépendant qui utilise les technologies de la communication et de l'information modernes afin de diffuser et vulgariser son travail.
En 2005, il est l'auteur d'une étude universitaire sur l'ethnologie culturelle des pratiques artistiques amateurs contemporaines, leurs manifestations urbaines et les politiques les accompagnant.
Il s'intéresse aussi à l'ethnologie culturelle en zone de montagne (France, Canada, Bulgarie), à l'histoire de la pensée, il travaille également dans le domaine des religions comparées, de la philosophie antique ou de la psychologie analytique.
Il diffuse en 2011 des carnets de recherche sur son terroir où il étudie des monuments mégalithiques de l'âge des métaux à travers la notion de géographie sacrée dans les Pyrénées et notamment en Vallée d'Ossau.
Il est l'auteur d'une analyse sur la baguette préhistorique d'Arudy (Sud-Ouest de la France), une baguette datant du magdalénien (17 000 à 9 000 avant notre ère ) retrouvée dans une grotte préhistorique par l'archéologue Édouard Piette. Il en propose un décryptage en ligne en février 2012, ainsi qu'une vidéo sur son site Internet. Sa théorie est que la baguette est le premier calendrier luni-solaire perpétuel et qu'il possède deux sens de lecture représentant un cycle solaire et lunaire infini, les symboles de la baguette ayant une valeur numérique et temporelle. Pour lui, la baguette fait aussi office d'éphéméride et met en avant une forme d'arithmétique.
En mars 2012, il déchiffre un calendrier lunaire sur une peinture pariétale de la grotte de Lascaux. Suivent ensuite de nouveaux calendriers et en avril 2012 après avoir publié ses recherches en ligne, il affirme qu'il faut concevoir Lascaux comme un gigantesque calendrier lunaire. Il est actuellement le seul à défendre cette théorie de "calendrier magdalénien", véritable révolution scientifique.
Il développe ainsi sa théorie des Nouvelles Lunes (lunaisons, mois lunaires, révolutions synodiques) et affirme qu'elle permet d'expliquer de nombreuses peintures et gravures pariétales (Vénus à la Corne, L'abri du poisson, La grotte de la forêt, etc.) ainsi que des gravures mobilières et de donner un sens nouveau à l'appréhension de l'art de l'Âge du Renne ( 35 000 ans à 10 000 ans avant notre ère). Il prend ainsi ses distances avec les interprétations purement chamaniques et prélogiques antérieures.


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