LA THEORIE DES NOUVELLES LUNES.
CARNETS DE RECHERCHE MAI 2012.
E.L. Ethnologue. Photographe.
Mise en page : Le Webmaster
Carnets de recherche numéro 08
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Recherches ethnologiques sur les Cromlechs de Lous Couraus et de la Vallée d'Ossau
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mardi 22 mai 2012
samedi 19 mai 2012
La théorie des Nouvelles Lunes : Astronomie préhistorique
La théorie des
Nouvelles Lunes
Astronomie
préhistorique
Par C.L.
Vous vous souvenez tous d’E.L., le “révolutionnaire culturel de la préhistoire” et accessoirement pigiste à forte personnalité pour Solarisine. Il revient vers nous avec sa nouvelle théorie qui permet selon lui d'appréhender la préhistoire d’un oeil neuf. Il s’agit de la théorie des Nouvelles Lunes, non, ce n’est pas de la science-fiction !
Solarisine : C'est quoi la théorie des Nouvelles Lunes ?
E.L. : La théorie des Nouvelles Lunes, consiste tout simplement à penser en terme astronomique de révolution synodique ou de lunaison (NDR : 29,5 jours, correspond à un mois lunaire), chose “difficile” à notre époque sans une remise à niveau, mais allant de soi pour les hommes de l'Âge du Renne, idem pour la période de rut des cervidés que vous connaissez bien sur les routes au Québec.
S : En quoi est-ce révolutionnaire pour appréhender la préhistoire ?
E.L. : Cela prouve que nos ancêtres maîtrisaient le calcul astronomique plus de 10 000 ans avant l'Égypte. Cela change notre perception de la connaissance qu'ils avaient du temps et des cycles naturels et astronomiques. Je m'éloigne ainsi de l'interprétation chamanique et prélogique pure, disons que je rejoins un peu l'ethnologue James George Frazer dans sa conception de la “magie” comme science embryonnaire primordiale et logique élémentaire.
S : Y a t-il un tabou sur la préhistoire en France ?
E.L. : Il semblerait, vu la réaction de certaines personnes. Mais comme je dois être un peu magdalénien dans l'âme, je dois l'occulter naturellement. (rires)
S : Vous avez eu des démêlés avec le CNRS semble t-il ?
E.L. : Oui, on peut dire ça, notamment avec une personne qui s'autoproclame prétentieusement “paléographe” suite à un diplôme accidentel et improbable de l'École des chartes et qui affichait à une époque récente son visage sur toutes les pages Wikipédia. Pour ce genre de personne, je cumule les tares, je suis “provincial”, j'ai travaillé pour payer mes études, je viens de l'Université et je considère le CNRS comme une niche de fonctionnaires de la pensée et de fils à papa en villégiature (exception faite pour les archéologues, qui travaillent vraiment sur le terrain), voire maintenant pire, comme des clercs pratiquant la censure et la rétention d'information en petit comité. J'ai résumé la malveillance dont j'ai fait l'objet parfaitement sur mon blog. En terme de préhistoire les véritables avancées et découvertes sont majoritairement le fait d'érudits et d'amateurs au sens positif, je ne déroge pas à cette règle quasi-cosmique. Je suis le cauchemar incarné de l'École des chartes et du CNRS, un chercheur qui trouve ! (rires)
S : Qu'en est t-il à présent ?
E.L. : Ils n'osent plus communiquer directement, ils consultent mon site en catimini et parfois m'envoient un message anonyme pour savoir le fond de ma pensée sur Wikipédia. Je crains de ne pouvoir le livrer ici, mais tout est visible sur mon blog. Je pense qu'ils sont impressionnés par ma fréquence de production, ma cohérence et l'application concrète de ma théorie à de nombreux sites préhistoriques. Ils comprennent que j'ai raison et que leur manège va finir par se voir car j'ai de la mémoire.
S : Comment aborder les représentations graphiques de la préhistoire ?
E.L. : Tout d'abord lire le bouquin de Norbert Aujoulat (NDR : Lascaux, le geste, l'espace et le temps), véritable bouffée d'oxygène intellectuel, et puis, bien entendu, lire mon déchiffrage de la baguette d'Arudy, ma Pierre de Rosette, celui de Lascaux et mes carnets de recherches ! (rires)
S : Avez-vous eu des échos positifs ou négatifs sur vos déchiffrages ?
E.L. : Oui, positifs, notamment de profs de maths et d’ingénieurs, ce qui ne m'a qu'à moitié étonné - le déchiffrage de la baguette d'Arudy étant assez complexe dans la forme malgré mes efforts de vulgarisation -, d'un aimable professeur émérite et de non moins aimables amateurs d’art et de culture chevronnés ou d'anonymes sur mon blog. La cabale Wikipédia-CNRS m'a un peu déstabilisé, mais cela m'a permis de blinder ma théorie, il ne m'ont d'ailleurs pas attaqué sur le fond mais sur la forme, ils ne me pardonnent pas d'être passé par voie de presse pour annoncer ma découverte, secteur qu'ils ne contrôlent pas comme Wikipédia. Une amie s'est déjà faite voler son sujet de thèse universitaire en sciences humaines par une personne du sérail, je sais comment ils fonctionnent, j'en parle d'ailleurs dans mon déchiffrage de la baguette d'Arudy. Je dois être visionnaire (rires). (CF : Solarisine Février 2012).
S : Vous avez l'air bien sérieux sur la photo que vous nous avez transmis, ce n'est pourtant pas votre habitude de soigner ainsi votre image ?
E.L. : Je ne sais pas comment je dois le prendre, mais j'ai essayé de dépasser ce principe naturel qui veut que tous les palethnologues aient des pull-overs ringards au moment du flash. De nombreuses remarques, dont les vôtres, suite à un précédent article de la République des Pyrénées m'y ont aussi un peu poussé, je dois l'avouer. (rires)
S : Quel avenir pour votre théorie ?
E.L. : Un champ ethnographique et ethnologique énorme s'ouvre sur toute la période. Grâce à Internet je vais pouvoir me mettre au boulot sans filtre avant de passer à une rédaction plus universitaire. Le sujet est vaste et je pense que la nouvelle génération d'ethnologues est plus à même de poursuivre la culture sur les terres que j'ai défriché.
S : C'est quoi votre prochaine étape de “révolutionnaire culturel” ?
E.L. : La prochaine étape est de prouver que le terme “préhistoire” est galvaudé en France, des traces d'écritures sont évidentes, n'importe quel dilettante en la matière le sait en farfouillant sur la merveilleuse base de donnée Persée. J'en suis d'ailleurs l'ardent défenseur face à des projets aussi intellectuellement catastrophique que Wikipédia, malheureusement soutenu par des personnes morales du CNRS...
vendredi 18 mai 2012
La théorie des Nouvelles Lunes
La théorie des Nouvelles Lunes
Ma théorie qu'il convient d'appeler à présent : la théorie des Nouvelles Lunes (lunaisons, mois lunaires, révolutions synodiques), représentées par des « points », des « marques » ou des valeurs-symboles, que j'ai mise concrètement en application dans mon déchiffrage de Lascaux, ouvre de nouvelles perspectives à l'appréhension de l'art de l'Âge du Renne et sa réelle signification.
« La première civilisation véritable de l'Europe date de l'Age du Renne. Pendant un période d'environ vint-cinq millénaires, de 35000 ans à 10 000 ans avant J-C., des tribus puissantes d'hommes physiquement semblables à nous l'ont largement occupée. » (Denise de Sonneville-Bordes, La préhistoire moderne)
Les tenants d'un « prélogisme » - dont je ne fais pas partie - ne manqueront pas d'être déroutés, les égyptomaniaques - dont je fais encore moins partie - encore plus, par les conceptions astronomiques, du temps et sa mesure qu'évoquent les valeurs-symboles que j'ai notamment déchiffré sur la baguette d'Arudy (Pierre de Rosette de la préhistoire) et que l'on peut mettre en perspective avec les recherches graphiques de Norbert Aujoulat à Lascaux.
Mais ne nous gargarisons pas de cette nouvelle lecture révolutionnaire de l'art pariétal et mobilier mettant en lumière les calendriers de l'Âge du Renne et continuons à avancer, pendant que le « paléographe » autoproclamé du CNRS tente de me mettre des bâtons dans les roues en faisant de la rétention d'information la nouvelle norme pseudo-scientifique en vogue en France, au lieu d'avoir le courage intellectuel de faire amende honorable et de s'excuser publiquement.
Voici donc de nouveaux exemples applicables à ma théorie des Nouvelles Lunes - et ils sont loin d'être les seuls chers confrères ethnographes et étudiants en recherche de sujets novateurs, en tant qu'unique spécialiste des calendriers préhistoriques, je me sens actuellement un peu seul, la nouvelle ethnologie est en manque de cerveaux bien irrigués ayant des notions claires des cycles naturels et astronomiques- :
La grotte de la Forêt à Tursac, Dordogne, sud-ouest de la France.
Le cerf gravé sur une chape d'argile durcie brame, il est en rut. À noter : la belle perspective naturelle et le détail du dessin. Sur son corps neuf symboles de Nouvelles Lunes apparaissent comme pour mon déchiffrage de Lascaux et la frise des Petits Cerfs.
Bâton orné provenant d'un des abris magdaléniens de Veyrier (Haute-Savoie) près de la frontière Suisse.
Font de Gaume, Reines affrontés polychromes
L'Abri du Poisson
Un saumon plein et sept marques visibles (7 Nouvelles Lunes) annonçant la période de reproduction (les saumons rejoignent l'eau douce l'été pour se reproduire). À noter : à la veille de la première guerre mondiale, l'antiquaire O. Hauser avait tenté de l'enlever de la paroi pour le vendre à l'étranger.
Pour finir la merveilleuse Vénus à la corne, qui comme son nom l'indique porte une corne de bovidé dans sa main droite – marquées de treize incisions -, sans qu'aucun de nos grand clercs « paléographes » du CNRS et de l'École des chartes ne fassent le parallèle avec le renouveau du cycle solaire à la 13ème Nouvelle Lune, comme je l'ai déjà expliqué en vidéo pour mon déchiffrage de la baguette d'Arudy.
Pour le symbolisme du bovidé et de la déesse-mère, vous pouvez consulter ma revue de 2011.
Ethnologiquement vôtre.
E.L., le défricheur du temps et l'homme qui a déchiffré la baguette d'Arudy.
Présentation de l'auteur :
E.L. est un ethnologue français et un chercheur indépendant qui utilise les technologies de la communication et de l'information modernes afin de diffuser et vulgariser son travail.
En 2005, il est l'auteur d'une étude universitaire sur l'ethnologie culturelle des pratiques artistiques amateurs contemporaines, leurs manifestations urbaines et les politiques les accompagnant.
Il s'intéresse aussi à l'ethnologie culturelle en zone de montagne (France, Canada, Bulgarie), à l'histoire de la pensée, il travaille également dans le domaine des religions comparées, de la philosophie antique ou de la psychologie analytique.
Il diffuse en 2011 des carnets de recherche sur son terroir où il étudie des monuments mégalithiques de l'âge des métaux à travers la notion de géographie sacrée dans les Pyrénées et notamment en Vallée d'Ossau.
Il est l'auteur d'une analyse sur la baguette préhistorique d'Arudy (Sud-Ouest de la France), une baguette datant du magdalénien (17 000 à 9 000 avant notre ère ) retrouvée dans une grotte préhistorique par l'archéologue Édouard Piette. Il en propose un décryptage en ligne en février 2012, ainsi qu'une vidéo sur son site Internet. Sa théorie est que la baguette est le premier calendrier luni-solaire perpétuel et qu'il possède deux sens de lecture représentant un cycle solaire et lunaire infini, les symboles de la baguette ayant une valeur numérique et temporelle. Pour lui, la baguette fait aussi office d'éphéméride et met en avant une forme d'arithmétique.
En mars 2012, il déchiffre un calendrier lunaire sur une peinture pariétale de la grotte de Lascaux. Suivent ensuite de nouveaux calendriers et en avril 2012 après avoir publié ses recherches en ligne, il affirme qu'il faut concevoir Lascaux comme un gigantesque calendrier lunaire. Il est actuellement le seul à défendre cette théorie de "calendrier magdalénien", véritable révolution scientifique.
Il développe ainsi sa théorie des Nouvelles Lunes (lunaisons, mois lunaires, révolutions synodiques) et affirme qu'elle permet d'expliquer de nombreuses peintures et gravures pariétales (Vénus à la Corne, L'abri du poisson, La grotte de la forêt, etc.) ainsi que des gravures mobilières et de donner un sens nouveau à l'appréhension de l'art de l'Âge du Renne ( 35 000 ans à 10 000 ans avant notre ère). Il prend ainsi ses distances avec les interprétations purement chamaniques et prélogiques antérieures.
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