samedi 31 mars 2012

Lascaux et le temps / Lascaux and the time (site web / Website)


Lascaux et le temps / Lascaux and the time

Français

Ce site web est une initiation à la lecture du calendrier "lunaire" de Lascaux (magdalénien : environ 17 000 et 10 000 ans avant notre ère. (sud-ouest de la france).

Il s'agit d'un calendrier "lunaire" en plus d'être un calendrier perpétuel, selon E.L., un ethnologue français, connu pour être "l'homme qui a déchiffré la baguette d'arudy".

English

This website is an initiation to the reading of a "lunar" calendar from Lascaux (magdalenian, dating from around 17000 BP to 9000 BP. South West France)

in Mars 2012, E.L., a french ethnologist (A.K.A "The man who has deciphered the paleolithic stick from Arudy"), suggest to decipher this magdalenian "lunar" and perpetual calendar.

Español
Este sitio web es un análisis y un desciframiento de un calendario lunar  (Lascaux, suroeste de Francia).

Site web / Web site / sitio web

jeudi 29 mars 2012

Déchiffrage du calendrier "lunaire" de Lascaux / Decipherment of the "lunar" calendar from Lascaux



DÉCHIFFRAGE DU CALENDRIER "LUNAIRE" DE LASCAUX.

DECIPHERMENT OF THE "LUNAR" CALENDAR FROM LASCAUX.

MARS/MARCH 2012.

PREMIÈRE INITIATION.BANDE DESSINÉE.
FIRST INITIATION. COMIC.

E.L.. Ethnologue. Photographe.

Mise en page : Le Webmaster



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Français

Ce document est une initiation à la lecture du calendrier "lunaire" de Lascaux (magdalénien : environ 17 000 et 10 000 ans avant notre ère. (sud-ouest de la france).

Il s'agit d'un calendrier "lunaire" en plus d'être un calendrier perpétuel, selon E.L., un ethnologue français, connu pour être "l'homme qui a déchiffré la baguette d'arudy".

English

This document is an initiation to the reading of a "lunar" calendar from Lascaux (magdalenian, dating from around 17000 BP to 9000 BP. South West France)

in Mars 2012, E.L., a french ethnologist (A.K.A "The man who has deciphered the paleolithic stick from Arudy"), suggest to decipher this magdalenian "lunar" and perpetual calendar.


Vidéo HD (FR/ENG) : Déchiffrage du calendrier "lunaire" de Lascaux / Decipherment of the "lunar" calendar from Lascaux :

(Vidéo Perdue suite au piratage de mon ordinateur)

mercredi 28 mars 2012

Le calendrier lunaire de Lascaux déchiffré : Astronomie préhistorique




Retranscription de l'article paru sur le Solarisine de Mars 2012.

Le calendrier lunaire de Lascaux déchiffré par E.L.

Nous sommes à Lascaux, en 2000.

Un "calendrier lunaire" semble être (enfin) authentifié sur une peinture pariétale. (voir les illustrations).

Elle montre 13 points noirs et un signe quadrangulaire.

Le scientifique Michael Rappenglueck croit qu'il s'agit d'un cycle de la moitié d'un mois lunaire ("It's half of the Moon's monthly cycle" déclare t-il dans la presse).

Faux.

Il n'a rien compris. Son interprétation est invalide.

Il s'explique le “carré vide” comme un "symbole probable" de la nouvelle Lune, ce qui est faux si on suit son interprétation linéaire de la lecture du calendrier, d'un "bas vers le haut" qu'il suppose, la nouvelle Lune n'arrivant pas régulièrement tous les 13 jours (!).

Ceux qui ont suivi ma démonstration vidéo sur le déchiffrage de la baguette d'Arudy, comprendront aisément qu'il s'agit d'une année lunaire et solaire avec ses 13 "passages lunaires" ou nouvelles Lunes, le signe quadrangulaire signifiant ici le Solstice d'hiver où le cycle reprendra, comme je l'ai expliqué dans mon carnet de recherche ou ma bande dessinée consultables sur mon site Internet.

“Il s'agit de 13 nouvelles Lunes, constituant une année lunaire d'un Solstice d'hiver à un autre, voilà ce que n'a pas compris Rappenglueck.”

“La notion de « point de bascule » que j'ai évoqué lors de mon déchiffrage de la baguette d'Arudy est très importante afin de bien comprendre le temps cyclique « naturel » des hommes du magdalénien.


Mon déchiffrage du calendrier lunaire de Lascaux confirme de manière exceptionnelle ma thèse à ce sujet.


Afin de bien faire comprendre simplement cette notion de cycle le mieux est d'évoquer la traduction allemande du mot « Solstice » soit sonnenwende : littéralement, moment où le Soleil redescend.


Ces événements remarquables que sont les Solstices, en plus des équinoxes, correspondent à des changements de cycles : les saisons.”


Le mouvement du temps cyclique "naturel" est symbolisé par la course du (des) cervidé(s) au dessus du calendrier, comme il est symbolisé par le bio-rythme des escargots sur la baguette d'Arudy déchiffrée par mes soins (voir les illustrations ci-dessous). Les hommes du magdalénien sont de redoutables chasseurs, les cycles naturels leurs sont connus, il en va de leur survie.

Si l'on compte six points noirs à partir du carré vide une trace rouge signale le sixième passage lunaire (passage lunaire du Solstice d'hiver + 6 passages lunaires = Solstice d'été) ; si on compte sept points noirs à partir de l'opposé du carré vide, nous avons la marque rouge au septième passage lunaire (le soleil redescend pour 6 passages lunaire jusqu'au Solstice d'hiver : 7 + 6 = 13).

Ici la marque rouge et les pattes du cerf sont un “point de bascule”, comme (G) sur la baguette d'Arudy déchiffrée.

À savoir : il y a deux "grosses saisons" au magdalénien dans cette partie de l'Europe.

Rappenglueck (à vos souhaits), manifestement peu au fait de l'ethnologie, de l'ethnographie et de l'importance de la notion de cycles, du Solstice - le Nouveau Soleil - nous livre une interprétation peu fiable, qu'il convenait de rétablir dans sa vérité ethnologique et anthropologique en ce début de printemps 2012.

Tout cela prouve encore une fois l'ingéniosité de nos ancêtres dans la notation du temps.

E.L., le défricheur du temps, pour Solarisine.

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vendredi 23 mars 2012

Le calendrier "lunaire" de Lascaux déchiffré par E.L.

Le calendrier "lunaire" de Lascaux déchiffré par E.L.

Nous sommes à Lascaux, en 2000. Un "calendrier lunaire" semble être (enfin) authentifié sur une peinture pariétale.

Voici l'image :



Elle montre 13 points noirs et un carré vide.

Le scientifique Michael Rappenglueck croit qu'il s'agit d'un cycle de la moitié d'un mois lunaire ("It's half of the Moon's monthly cycle" déclare t-il dans la presse).

Faux.

Il n'a rien compris. Son interprétation est invalide.

Il s'explique le carré vide comme un "symbole probable" de la nouvelle Lune, ce qui est faux si on suit son interprétation linéaire de la lecture du calendrier, d'un "bas vers le haut" qu'il suppose, la nouvelle Lune n'arrivant pas régulièrement tous les 13 jours (!).

Ceux qui ont suivi ma démonstration vidéo (voir ci-dessous) sur le déchiffrage de la baguette d'Arudy, comprendront aisément qu'il s'agit d'une année lunaire et solaire avec ses 13 "passages lunaires" ou nouvelles Lunes, le carré signifiant ici le Solstice d'hiver où le cycle reprendra comme je l'ai expliqué dans mon carnet de recherche ou ma bande dessinée.

Il s'agit de 13 nouvelles Lunes, constituant une année lunaire d'un Solstice d'hiver à un autre, voilà ce que n'a pas compris Rappenglueck.


Le mouvement du temps cyclique "naturel" est symbolisé par la course du (des) cervidé(s) au dessus du calendrier, comme il est symbolisé par le bio-rythme des escargots sur la baguette d'Arudy déchiffrée par mes soins. Les hommes du magdalénien sont de redoutables chasseurs, les cycles naturels leurs sont connus, il en va de leur survie.

Si l'on compte six points noirs à partir du carré vide une trace rouge signale le sixième passage lunaire (passage lunaire du Solstice d'hiver + 6 passages lunaires = Solstice d'été) ; si on compte sept points noirs à partir de l'opposé du carré vide, nous avons la marque rouge au septième passage lunaire (le soleil redescend pour 6 passages lunaire jusqu'au Solstice d'hiver - 7 + 6 = 13).

Ici la marque rouge et la marque jaune sont un point de bascule, comme (G) sur la baguette d'Arudy déchiffrée.

À savoir : il y a deux "grosses saisons" au magdalénien dans cette partie de l'Europe.

Rappenglueck (à vos souhaits), manifestement peu au fait de l'ethnologie, de l'ethnographie et de l'importance de la notion de cycles, du Solstice - le Nouveau Soleil - nous livre une interprétation peu fiable, qu'il convenait de rétablir dans sa vérité ethnologique et anthropologique en ce début de printemps 2012.

Tout cela prouve encore une fois l'ingéniosité de nos ancêtres dans la notation du temps.

E.L., le défricheur du temps...

La baguette d'Arudy, version complète :




La baguette d'Arudy, version courte :


mercredi 21 mars 2012

LES CERCLES D’OSSAU CROMLECHS LOUS COURAUS. ÉQUINOXE MARS 2012.

LES CERCLES D’OSSAU

CROMLECHS LOUS COURAUS. ÉQUINOXE MARS 2012.

E.L. Ethnologue. Photographe.

Mise en page : Le Webmaster

Revue numéro 03

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(Perdue suite au piratage de mon ordinateur)

mardi 20 mars 2012

mercredi 14 mars 2012

Soleil sur Stonehenge par Gérald S. Hawkins


Un extrait de Soleil sur Stonehenge par l'astrophysicien Gérald S. Hawkins, Éditions Copernic, 1977.

Nous décidâmes donc de passer aux corps célestes les plus évidents, et qui jouaient un rôle de divinités aux temps préhistoriques, le soleil et la lune. Les résultats furent extraordinaires. Les déclinaisons correspondaient de très près et avec une grande fréquence à des positions extrêmes du soleil – mais cela je m'y attendais – et de la lune – ce que je n'avais pas soupçonné. Ces alignements que nous avions repérés correspondaient, ou semblaient correspondre, aux déclinaisons des deux objets les plus remarquables du ciel. J'ajoute « semblaient », car à ce stade nous utilisons un programme de recherche préliminaire d'une relative précision céleste. Les alignements de pierres et les déclinaisons qu'ils avaient permis de calculer étaient aussi précis que le permettait la carte utilisée au départ, et nous n'avions pas de positions parfaitement précises du soleil et de la lune à l'époque de Stonehenge. Nous devions nous contenter d'approximation imparfaites, et pour vérifier des corrélations apparentes, il nous fallait les positions extrêmes précises du soleil et de la lune, 1500 ans avant notre ère. Nous avons alors introduit dans l'ordinateur les déclinaisons extrêmes actuelles du soleil et de la lune, pour savoir ce qu'elles étaient 1500 ans avant notre ère. Nous ajoutâmes au programme le calcul des directions de levers et de couchers du soleil et de la lune. Ignorant ce que les hommes de Stonehenge avaient pu choisir, il fallut choisir trois définitions :
1. apparition du soleil;
2. le disque solaire apparaît à moitié, selon son diamètre au-dessus de l'horizon;
3. la circonférence complète tangente à l'horizon.
Il existe encore 1° de différence entre 1 et 3. Ce n'est pas énorme, bien sûr, mais je voulais déterminer avec autant de précisions que possible ce que les hommes de Stonehenge avaient exactement choisis comme définition. Mais parlons maintenant de la lune. Nous avons vu que le soleil se déplace d'une position maximum au Nord en été, avec une déclinaison de +23°5, correspondant à -23°5 au Sud en hiver. Pour la pleine lune, c'est exactement le mouvement inverse. Et son mouvement relatif est plus compliqué que celui du soleil. Ce mouvement comporte deux maxima au nord et au sud. Dans un cycle de 18 années 220 jours, elle varie de sorte que ses déclinaisons nord et sud varient de 29° à 19° pour revenir à 29°. Il y a ainsi deux extrêmes, 29° et 19 °, nord et sud. Ce mouvement pendulaire relatif est composé par les effets combiné de l'inclinaison et de la précession de l'orbite, et ce n'est pas un phénomène facile à préciser en quelques mots. Même un astronome éprouve une certaine difficulté à voir clairement ce que cela représente. Contentons-nous de savoir que la lune à deux positions extrêmes contre une pour le soleil.
Il ne fallut à notre machine – l'ordinateur- que quelques secondes pour déterminer la position du soleil et de la lune en 1500 avant notre ère. Les déclinaisons étaient +29°0 et 18°7 pour la lune.
Un rapide examen montra que ces déclinaisons correspondaient de très près à celles déterminées par les alignements de Stonehenge.
Nous avons très soigneusement comparés ces chiffres. Aucun doute. Ces alignements bien connus et souvent reproduits avaient bien un rapport avec le soleil et la lune.
Bien sur, je m'attendais à une certaine relation entre Stonehenge et le soleil. Je ne m'attendais cependant pas à une liaison aussi précise et complète. Et je ne m'attendais pas non plus à ce que la liaison avec la lune fût également aussi complète.
À moins d'un degrés près, 12 des alignements de Stonehenge indiquaient selon les résultats de l'ordinateur, une position extrême du soleil. Et avec une précision d'un degré et demi, 12 de ces alignements montraient des positions extrêmes de la lune.
On voit qu'aucune position importante de Stonehenge n'échappe à cette règle : toutes font référence au soleil et à la lune. Ces positions indiquent souvent des alignements supplémentaires. Parmi les 12 points indiquant uniquement le lever et le coucher du soleil et de la lune, deux seulement – le coucher de la lune au solstice d'été à -29° et -19°- y échappent. (Les pierres qui compléteraient ces alignements devraient, par symétrie, se trouver près du trou d'Aubrey 28, mais cette zone au-delà du fossé, n'a pas encore été complètement explorée.)

Gérald S. Hawkins, Soleil sur Stonehenge, Éditions Copernic, 1977.

lundi 12 mars 2012

En attendant le printemps...

« Numa Pompilius, nous dit la légende romaine, avait pour conseillère la nymphe Egérie. Seul il pénétrait dans les profondeurs des bois, sous l'ombrage mystérieux des chênes; il s'approchait avec confiance de la grotte sacrée, et pour sa vue, l'eau pure de la cascade, à la robe ourlée d'écume, au voile flottant de vapeur irisée, prenait l'aspect d'une femme belle entre toute et souriante d'amour. Il lui parlait comme un égal, lui, le chétif mortel, et la nymphe répondait d'une voix cristalline, à laquelle le murmure du feuillage et tout les bruits de la forêts se mêlaient comme un chœur lointain. C'est ainsi que le législateur apprenait la sagesse. Nul vieillard à la barbe blanchie n'eût su prononcer des paroles semblables à celles qui tombaient des lèvres de la nymphe, immortelle et toujours jeune.

Que nous dit cette légende, sinon que la nature seule, et non pas le tumulte des foules, peut nous initier à la vérité; que pour scruter les mystères de la science il est bon de se retirer dans la solitude et de développer son intelligence par la réflexion ?

Numa Pompilius, Egérie ne sont que des noms symboliques, résumant toute une pèriode de l'hisoire du peuple romain aussi bien que de chaque société naissante : c'est aux nymphes, ou, pour mieux dire, c'est aux sources, aux forêts, aux montagnes, qu'à l'origine de toute civilisation les hommes ont dû leur mœurs aux lois. »

« Telle montagne dont les neiges ou les glaces se montrent en plein ciel au-dessus des nuages, telle grande forêt dans laquelle mugit le vent, tel ruisseau qui coule dans les prairies ont souvent plus fait que des armées pour le salut d'un peuple. C'est là ce qu'ont senti les Basques, ces nobles descendants des Ibères, nos aïeux : afin de rester libres et fiers, ils ont toujours bâti leurs demeures au bord des fontaines, à l'ombre des grands arbres, et plus encore que leur courage, leur amour de la nature à longtemps sauvegardé leur indépendance. »

Par le très sérieux et très docte géographe Élisée Reclus dans son Histoire d'un ruisseau.

Merci de ne pas pirater ce blog, ça attriste mon webmestre. E.L

mardi 6 mars 2012

Arithmétique magdalénienne en Vallée d'Ossau

Mon déchiffrage de la baguette d'Arudy publié le premier février 2012 et qui ne tardera pas à faire grand bruit dans le microcosme cloisonné de la « recherche » française, met en avant une « arithmétique » paléolithique sous forme de valeurs-symboles et nous informe sur un nouveau panthéon stellaire.

Découverte, locale, mais qui nous évoque d'autres cultures qui ont comparé l'escargot à un dieu lunaire, je veux bien entendu parler des aztèques, élément, qui en cette année 2012 ne manquera pas d'effrayer les plus superstitieux.

Pour revenir à des choses plus objectives, ce n'est rien de moins qu'un nouvel alphabet alpha-numérique et j'oserai rajouter « philosophico-religieux » que j'ai mis à jour, en plus d'une conceptualisation des cycles et du temps totalement « poétique » et extrêmement ingénieuse.

Ce déchiffrage basé sur l'élévation du soleil et les cycles lunaires a fait apparaitre au grand jour le premier calendrier luni-solaire perpétuel. Mon carnet de recherche disponible en ligne ainsi qu'une vidéo vulgarisatrice permettront au lecteur de juger de mon travail. Cette découverte majeure est la concrétisation d'un passionnant et long labeur concernant ce que Marcel Baudouin appelait « le culte stello-solaire typique au solutréen », déjà en 1916.

Cette découverte historique ouvre un champ de perspective immense pour mes futures recherches et nous amène à une continuité des cultes préhistoriques à l'âge des métaux, sous la forme des calculateurs solaires que constituent les Cercles de pierre de la Vallée d'Ossau, cromlechs et autres mégalithes.

Elle répond aussi à l'intuition de certains passionnés de préhistoire qui ont su voir, sans souvent oser l'exprimer - de part la pression de la recherche "officielle" -, dans les symboles locaux, des marques de calcul. Je ne parle pas évidement de « langage unifié » ni d' « alphabet unifié », mais cette baguette d'Arudy, nouvelle pierre de rosette de la préhistoire, ouvre un champ vertigineux à notre appréhension de l'histoire de la pensée.

En vous souhaitant bonne lecture.

E.L