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mercredi 22 avril 2020

Les mystères "totémiques" de Gaston Fébus

Interview en date du 22 avril 2020 sur le blog Solarizine

 

Interview : Les mystères "totémiques" de Gaston Fébus

 

Extraits de l'interview :

 

S :  Parlez-nous de votre découverte !

E.L : Oui ! J'ai déchiffré la signature de Gaston Fébus, je montre qu'il s'agit d'un travail graphique exceptionnel, qu'il y a un code à double niveau voire triple et quadruple avec des éléments latins et runiques interconnectés, que j’analyse, que cette signature fait référence à la croisade albigeoise de 1208 avec une notation ingénieuse et que cette signature s'inscrit dans un mécanisme de construction de formes totémiques à plusieurs niveaux, dont la stylisation étonnamment moderne, nous laisse entrevoir un monde perdu à jamais et nous ramène à notre condition de colonisé dévasté du XIIIème siècle. C'est proprement hallucinant, j'ai vraiment l'impression d'avoir découvert quelque chose de grandiose, mais tout ce que je ressens de l’extérieur, c'est que la police politique veut me faire avoir un casier judiciaire et me mettre sur une chaise roulante, bref, c'est une douche froide, je vis réellement une expérience fasciste.

S :  Comment avez-vous passé le message ?


E.L : Rien qu'en vous parlant, je crains qu'un voisin crève à nouveau mes pneus, que mon domicile soit violé ou qu'on ne me menace de mort dans les prochains jours à nouveau. Néanmoins, j'ai décidé de faire une vidéo plutôt sympathique en partenariat avec un groupe qui a montré un intérêt pour mes travaux et des graphistes qui me suivent depuis un moment malgré le côté "paria" que l'on veut me coller. La vidéo est visible sur mon blog dont vous allez donner l'adresse, car je vous connais bien !

Lire la suite de l'interview

jeudi 12 avril 2018

Interview : écologie préhistorique

Interview : écologie préhistorique

Interview en date du 12 avril 2018 sur le blog Solarizine



https://solarizine.blogspot.fr/2018/04/interview-ecologie-prehistorique.html

Extraits de l'interview :


Solarizine : Quoi de nouveau depuis ces 6 ans ?

E.L : Et bien, j'ai continué mes recherches, notamment sur Lascaux ainsi que sur le pendentif de la Grotte à la Roche. Je n'ai eu aucun soutien de la part de la communauté universitaire. Je dois aussi avouer que j'ai été mis sous pression par l'Etat français, notamment avec des agressions multiples, voies de fait et même des vols à mon domicile, par exemple, la carte que l'on voit sur l'écran de ma vidéo du projet initial a été dérobée. Certains camarades de l'Université se sont révélés être particulièrement distants, voire hostiles, surtout avec la cabale qu'a lancé contre moi Rémi Mathis en 2014, ce qui m'a définitivement "grillé" au CNRS. La belle affaire. J'ai reçu récemment un soutien de l'Université de Pau à titre individuel. Mais je n'ai pas eu d'autre choix que l'expatriation pendant trois années.

S : Aucune publication officielle ?

E.L : Non, seulement des encouragements des lecteurs de mon blog concernant mes nouvelles recherches.

S : Parlez-nous un peu de vos nouvelles découvertes.

E.L : J'ai déchiffré le pendentif de la Grotte à la Roche [visible ici, NDR], qui comme la baguette d'Arudy, à des sens de lecture multiples, notamment une fonction multiplicatrice par 3 et par 5.

S : Quel intérêt pour la science ?

E.L : Je prouve simplement qu'il ne s'agit pas juste d'un "churinga" décoré, mais d'un calculateur du magdalénien avec des éléments remarquables pour qui s'intéresse au calcul astronomique préhistorique.

S : De l'écologie avant l'heure ?

E.L : Effectivement, la survie de nos ancêtres dépendait de la connaissance des cycles naturels.

S : Pourquoi cette condamnation de vos recherches, puis cette mise sous silence ?

E.L : Je suis une sorte d'hérétique dans le monde de la préhistoire, en effet, j'affirme que les hommes du magdalénien connaissaient le calcul des révolutions sidérales lunaires ainsi que l’arithmétique : divisions, multiplications. Le pendentif de la Grotte à la Roche signifie sûrement beaucoup plus, ils symbolise à mon sens le calcul temporel "total", au même titre que la baguette d'Arudy. C'est le retour en force de l'ethnologie et les paléographes comme Rémi Mathis ne le digère toujours pas. Ensuite, ce genre d'objets sont très sensibles théologiquement, spirituellement, comme je l'ai déjà dit, la baguette d'Arudy pourrait être "le nom de dieu", au même titre que le pendentif de la Grotte à la Roche.

Lire la suite de l'interview

lundi 13 août 2012

Vidéo : Le mégalithe est le message






Vidéo : Le mégalithe est le message

Par C.L.

Dernière vidéo en date du cycle d’E.L. concernant son travail sur Lascaux et plus largement sur la notion de géographie sacrée où l’on retrouve les bribes de la psychogéographie situationniste.
Navigant entre le stoïcisme froid et le mysticisme échevelé si cher à Cioran, notre ethno-photographe préféré revisite l’esprit de Lascaux pour en faire le berceau d’un art total perdu, une “magie” qui serait la première tentative humaine d’une “science globale”. On pense bien sûr à Kubrick, même si l’ethnologue s’en défend : “Ce n'est pas de ma faute si un cinéaste a pressenti la chose en 1968 et en a fait un film chiant.”. Alors comment définit t-il sa démarche actuelle ? Voici des éléments de réponses : “ Cela risque de mettre une centaine d'année avant d'être validé, il faudra sûrement deux-mille-onze symposiums en rhétorique des arts appliqués en spacialisation trigonométrique assisté par digi-écran tri-dimensionnel, il faudra reclasser l'art préhistorique en art historique après que le dernier cerveau vivant comprenant un cycle lunaire ait décidé d'alerter ses contemporains sur la perte du sens du réel dans une société post-logique, il faudra aussi vouloir casser l'influence grandissante des gourous mercenaires du courant néo-néo-lithique retravaillant mes textes et mes fautes d'inattention pour leur donner un sens ésotérique et mystique, pour qu'enfin la réincarnation de Rémi Mathis, sous son pseudonyme favori "kikoolol75PTDR", un beau Solstice de juin, assisté de son clone de ménage David Monniauxxx, nous pondent un entrefilet misérable, comme à leur habitude, sur la wikiprada2112 : E.L : "Révolutionnaire culturel de la préhistoire, pas si con en fait pour un bouseux, il savait compter jusqu'à 13 sans digi-implant-neuronaux... et prouva que les hommes de l'Âge du Renne maîtrisaient le calcul astral, les révolutions synodiques et sidérales lunaires... ainsi que la construction mégalithique sur base de triangle pythagoricien... on l'a pris durant son époque pour un énième performer punk-comico-tragique post-situ-dadaïste en mal de pub ou un geek manipulé par une secte de fans de jeux de rôle adulescent en mission grandeur nature... voire un polémiste vengeur en burn-out... le syndrome de l'impressionnisme-incompris exigeant une cellule de veille rien que pour lui au cas où il s'agisse du futur Andy Warhol, bankabilité oblige...” et de conclure : “Je n'ai pas l'ego d'un martyr, ni le complexe du messie.” Moi, j’adore. À table !

Extrait du Solarisine Juillet-Août.

Voir la vidéo ici.

mercredi 13 juin 2012

Le mégalithisme est né à Lascaux : Astronomie préhistorique







































Le mégalithisme est né à Lascaux
par E.L.

Astronomie préhistorique

Le Mégalithisme est né à
Lascaux est l’aboutissement
d’un travail de recherche
ethnologique et de
vulgarisation sur les calendriers
du magdalénien que
vous avez déjà pu suivre à
travers trois numéros de
Solarisine, qui devient ainsi
la première revue d’avant-garde
de la paléoastronomie.

En ce début de mois de Juin,
Lise, notre boss vénéré, m’annonçait
que Vénus venait de
faire son petit tour devant le
Soleil et qu’un homme venait de
boucler le premier vol intercontinental
à bord d’un avion solaire,
plus modestement, je venais
de terminer la compilation
de mes carnets de recherches,
arrivant à cette conclusion :
Lascaux est un gigantesque
calendrier lunaire dont
“l’équation primordiale” et le
“manuel” d’utilisation se trouvent
dans le diverticule axial.

Le diverticule axial, selon ma
théorie, s’articulant autour d’un
trilithe et d’un monolithe : sans
doute la plus grande découverte
ethnographique sur Lascaux
depuis son invention, que Vénus
et Lise me pardonnent.
J’ai donc dû inventer un terme,
un néologisme, joie de tout inventeur :
le “paléo-mégalithisme” ou
“paléomégalithisme” pour positionner
ma théorie. Tel l’inverse
de celui d’un artiste surréaliste,
mon travail se résume à cette
phrase prononcée en attendant
Vénus : “Ceci est un mégalithe”.

Ce qui est surréaliste pour certains
est que je sois le premier au
monde à le découvrir, moi pauvre
petit “érudit local” honni du
CNRS.

Qu’un fanzine québécois ait la primeur de ma
découverte va en énerver et en affoler plus d’un,
mais j’ai décidé de placer ma confiance en des
gens sincères plutôt que de tenter de convaincre
des imbéciles ultra-diplômés en “paléo-bidule” qui
au final n’ont cherché que mon exécution en place
publique pour avoir prouvé l’intelligence de nos
ancêtres.

Je vous invite donc, chers lecteurs de
Solarisine, à vous forger votre propre opinion en
consultant mon site web et mon blog de chercheur
indépendant, toutes mes recherches y sont
consultables et téléchargeables gratuitement.
Mon webmestre m‘a soufflé l’idée de mettre
un compteur à rebours sur mon site et de l'arrêter
au moment où je recevrai enfin un message de
félicitations de nos “paléo-élites” - car ne doutez
pas qu’ils sont au courant - pour cette découverte
majeure. Je crains que cela soit vain. Mais ce
travail ethnologique dans le travail ethnologique
est pour moi assez passionnant.

Il y a en tout quatre théories qui servent de
piliers à ma nouvelle lecture ethnographique de
Lascaux, dont l’une des plus importantes. la
théorie des Nouvelles Lunes (CF : Solarisine mai
2012), s’adapte à d’autres sites du magdalénien.

Tout cela prouve encore une fois l'ingéniosité
de nos ancêtres, dits primitifs, dans la notation du
temps ainsi que l’héritage culturel paléoastronomique
transmis de l’Âge du Renne jusqu’au néolithique
en Europe, avec des sites comme Stonehenge.

temps, pour Solarisine.

Transcription du Solarisine Juin 2012.

samedi 19 mai 2012

La théorie des Nouvelles Lunes : Astronomie préhistorique




La théorie des


Nouvelles Lunes


Astronomie 


préhistorique

 
Par C.L.


Vous vous souvenez tous d’E.L., le “révolutionnaire culturel de la préhistoire” et accessoirement pigiste à forte personnalité pour Solarisine. Il revient vers nous avec sa nouvelle théorie qui permet selon lui d'appréhender la préhistoire d’un oeil neuf. Il s’agit de la théorie des Nouvelles Lunes, non, ce n’est pas de la science-fiction !

Solarisine : C'est quoi la théorie des Nouvelles Lunes ?
E.L. : La théorie des Nouvelles Lunes, consiste tout simplement à penser en terme astronomique de révolution synodique ou de lunaison (NDR : 29,5 jours, correspond à un mois lunaire), chose “difficile” à notre époque sans une remise à niveau, mais allant de soi pour les hommes de l'Âge du Renne, idem pour la période de rut des cervidés que vous connaissez bien sur les routes au Québec.

S : En quoi est-ce révolutionnaire pour appréhender la préhistoire ?

E.L. : Cela prouve que nos ancêtres maîtrisaient le calcul astronomique plus de 10 000 ans avant l'Égypte. Cela change notre perception de la connaissance qu'ils avaient du temps et des cycles naturels et astronomiques. Je m'éloigne ainsi de l'interprétation chamanique et prélogique pure, disons que je rejoins un peu l'ethnologue James George Frazer dans sa conception de la “magie” comme science embryonnaire primordiale et logique élémentaire.

S : Y a t-il un tabou sur la préhistoire en France ?

E.L. : Il semblerait, vu la réaction de certaines personnes. Mais comme je dois être un peu magdalénien dans l'âme, je dois l'occulter naturellement. (rires)

S : Vous avez eu des démêlés avec le CNRS semble t-il ?

E.L. : Oui, on peut dire ça, notamment avec une personne qui s'autoproclame prétentieusement  “paléographe” suite à un diplôme accidentel et improbable de l'École des chartes et qui affichait à une époque récente son visage sur toutes les pages Wikipédia. Pour ce genre de personne, je cumule les tares, je suis “provincial”, j'ai travaillé pour payer mes études, je viens de l'Université et je considère le CNRS comme une niche de fonctionnaires de la pensée et de fils à papa en villégiature (exception faite pour les archéologues, qui travaillent vraiment sur le terrain), voire maintenant pire, comme des clercs pratiquant la censure et la rétention d'information en petit comité. J'ai résumé la malveillance dont j'ai fait l'objet parfaitement sur mon blog. En terme de préhistoire les véritables avancées et découvertes sont majoritairement le fait d'érudits et d'amateurs au sens positif, je ne déroge pas à cette règle quasi-cosmique. Je suis le cauchemar incarné de l'École des chartes et du CNRS, un chercheur qui trouve ! (rires)

S : Qu'en est t-il à présent ?

E.L. : Ils n'osent plus communiquer directement, ils consultent mon site en catimini et parfois m'envoient un message anonyme pour savoir le fond de ma pensée sur Wikipédia. Je crains de ne pouvoir le livrer ici, mais tout est visible sur mon blog. Je pense qu'ils sont impressionnés par ma fréquence de production, ma cohérence et l'application concrète de ma théorie à de nombreux sites préhistoriques. Ils comprennent que j'ai raison et que leur manège va finir par se voir car j'ai de la mémoire.

S : Comment aborder les représentations graphiques de la préhistoire ?

E.L. : Tout d'abord lire le bouquin de Norbert Aujoulat (NDR : Lascaux, le geste, l'espace et le temps), véritable bouffée d'oxygène intellectuel, et puis, bien entendu, lire mon déchiffrage de la baguette d'Arudy, ma Pierre de Rosette, celui de Lascaux et mes carnets de recherches ! (rires)

S : Avez-vous eu des échos positifs ou négatifs sur vos déchiffrages ?

E.L. : Oui, positifs, notamment de profs de maths et d’ingénieurs, ce qui ne m'a qu'à moitié étonné - le déchiffrage de la baguette d'Arudy étant assez complexe dans la forme malgré mes efforts de vulgarisation -, d'un aimable professeur émérite et de non moins aimables amateurs d’art et de culture chevronnés ou d'anonymes sur mon blog. La cabale Wikipédia-CNRS m'a un peu déstabilisé, mais cela m'a permis de blinder ma théorie, il ne m'ont d'ailleurs pas attaqué sur le fond mais sur la forme, ils ne me pardonnent pas d'être passé par voie de presse pour annoncer ma découverte, secteur qu'ils ne contrôlent pas comme Wikipédia. Une amie s'est déjà faite voler son sujet de thèse universitaire en sciences humaines par une personne du sérail, je sais comment ils fonctionnent, j'en parle d'ailleurs dans mon déchiffrage de la baguette d'Arudy. Je dois être visionnaire (rires). (CF : Solarisine Février 2012).

S : Vous avez l'air bien sérieux sur la photo que vous nous avez transmis, ce n'est pourtant pas votre habitude de soigner ainsi votre image ?

E.L. : Je ne sais pas comment je dois le prendre, mais j'ai essayé de dépasser ce principe naturel qui veut que tous les palethnologues aient des pull-overs ringards au moment du flash. De nombreuses remarques, dont les vôtres, suite à un précédent article de la République des Pyrénées m'y ont aussi un peu poussé, je dois l'avouer. (rires)

S : Quel avenir pour votre théorie ?

E.L. : Un champ ethnographique et ethnologique énorme s'ouvre sur toute la période. Grâce à Internet je vais pouvoir me mettre au boulot sans filtre avant de passer à une rédaction plus universitaire. Le sujet est vaste et je pense que la nouvelle génération d'ethnologues est plus à même de poursuivre la culture sur les terres que j'ai défriché.

S : C'est quoi votre prochaine étape de “révolutionnaire culturel” ?

E.L. : La prochaine étape est de prouver que le terme “préhistoire” est galvaudé en France, des traces d'écritures sont évidentes, n'importe quel dilettante en la matière le sait en farfouillant sur la merveilleuse base de donnée Persée. J'en suis d'ailleurs l'ardent défenseur face à des projets aussi intellectuellement catastrophique que Wikipédia, malheureusement soutenu par des personnes morales du CNRS...

Montréal, 2012.

Transcription de l'article original.

mercredi 28 mars 2012

Le calendrier lunaire de Lascaux déchiffré : Astronomie préhistorique




Retranscription de l'article paru sur le Solarisine de Mars 2012.

Le calendrier lunaire de Lascaux déchiffré par E.L.

Nous sommes à Lascaux, en 2000.

Un "calendrier lunaire" semble être (enfin) authentifié sur une peinture pariétale. (voir les illustrations).

Elle montre 13 points noirs et un signe quadrangulaire.

Le scientifique Michael Rappenglueck croit qu'il s'agit d'un cycle de la moitié d'un mois lunaire ("It's half of the Moon's monthly cycle" déclare t-il dans la presse).

Faux.

Il n'a rien compris. Son interprétation est invalide.

Il s'explique le “carré vide” comme un "symbole probable" de la nouvelle Lune, ce qui est faux si on suit son interprétation linéaire de la lecture du calendrier, d'un "bas vers le haut" qu'il suppose, la nouvelle Lune n'arrivant pas régulièrement tous les 13 jours (!).

Ceux qui ont suivi ma démonstration vidéo sur le déchiffrage de la baguette d'Arudy, comprendront aisément qu'il s'agit d'une année lunaire et solaire avec ses 13 "passages lunaires" ou nouvelles Lunes, le signe quadrangulaire signifiant ici le Solstice d'hiver où le cycle reprendra, comme je l'ai expliqué dans mon carnet de recherche ou ma bande dessinée consultables sur mon site Internet.

“Il s'agit de 13 nouvelles Lunes, constituant une année lunaire d'un Solstice d'hiver à un autre, voilà ce que n'a pas compris Rappenglueck.”

“La notion de « point de bascule » que j'ai évoqué lors de mon déchiffrage de la baguette d'Arudy est très importante afin de bien comprendre le temps cyclique « naturel » des hommes du magdalénien.


Mon déchiffrage du calendrier lunaire de Lascaux confirme de manière exceptionnelle ma thèse à ce sujet.


Afin de bien faire comprendre simplement cette notion de cycle le mieux est d'évoquer la traduction allemande du mot « Solstice » soit sonnenwende : littéralement, moment où le Soleil redescend.


Ces événements remarquables que sont les Solstices, en plus des équinoxes, correspondent à des changements de cycles : les saisons.”


Le mouvement du temps cyclique "naturel" est symbolisé par la course du (des) cervidé(s) au dessus du calendrier, comme il est symbolisé par le bio-rythme des escargots sur la baguette d'Arudy déchiffrée par mes soins (voir les illustrations ci-dessous). Les hommes du magdalénien sont de redoutables chasseurs, les cycles naturels leurs sont connus, il en va de leur survie.

Si l'on compte six points noirs à partir du carré vide une trace rouge signale le sixième passage lunaire (passage lunaire du Solstice d'hiver + 6 passages lunaires = Solstice d'été) ; si on compte sept points noirs à partir de l'opposé du carré vide, nous avons la marque rouge au septième passage lunaire (le soleil redescend pour 6 passages lunaire jusqu'au Solstice d'hiver : 7 + 6 = 13).

Ici la marque rouge et les pattes du cerf sont un “point de bascule”, comme (G) sur la baguette d'Arudy déchiffrée.

À savoir : il y a deux "grosses saisons" au magdalénien dans cette partie de l'Europe.

Rappenglueck (à vos souhaits), manifestement peu au fait de l'ethnologie, de l'ethnographie et de l'importance de la notion de cycles, du Solstice - le Nouveau Soleil - nous livre une interprétation peu fiable, qu'il convenait de rétablir dans sa vérité ethnologique et anthropologique en ce début de printemps 2012.

Tout cela prouve encore une fois l'ingéniosité de nos ancêtres dans la notation du temps.

E.L., le défricheur du temps, pour Solarisine.

Télécharger l'article

dimanche 26 février 2012

LE DÉFRICHEUR DU TEMPS


LE DÉFRICHEUR DU TEMPS

RENCONTRE

Le jeune ethnologue palois E.L., licencié en histoire de l'art, étudie les symboles préhistoriques en Ossau. Il a déchiffré un des plus anciens calendrier de l'humanité, datant du magdalénien.

Par Jacques Caubet

Je serai bientôt connu comme l'homme qui a déchiffré la baguette d'Arudy, datant du Magdalénien. » J'ai découvert qu'il s'agissait du premier calendrier lunaire et solaire de l'humanité, en plus d'être un calendrier perpétuel. » L'ethnologue E.L., a mis en ligne sur Internet ses recherches le 1er février dernier, date de son anniversaire. Dans un carnet et une vulgarisation pédagogique de 24 pages en bande dessinée.
C'est comme quand la pomme est tombée sur l'occiput de Newton...De quoi se frapper le front en prononçant face à l'aveuglante évidence le fameux mot d'un détective antédiluvien, un certain Bourrel : « Bon dieu, mais c'est bien sûr » ! La pièce en forme de baguette, mise au jour au XIXe siècle dans la grotte d'Espalungue sur le massif du Larroun, à Arudy porte des inscriptions hiéroglyphiques. Quand on la redresse, les mouvement de la Lune (côté gauche) se conjuguent à ceux du Soleil (à droite), pour mesurer le temps. Ce qui indiquerait que les hommes du magdalénien entre (17000 et 9000av.J.C) avaient une approche de l'arithmétique. En même temps qu'une notion du mouvement perpétuel des saisons, du solstice d'été au solstice d'hiver en passant par les équinoxes. C'est en tout cas la théorie d'E.L. La traduction lunaire en spirale d'escargot offre aussi une troublante identité avec la symbolique aztèque et celte. La curiosité aux aguets, le jeune historien de l'art a fouiné longuement dans la Vallée d'Ossau, riche de quelque 230 monuments – cromlechs, menhirs, dolmens, etc – qui est devenue un de ses principaux poste d'observation. [...]

Extrait de l'article de La République des Pyrénées du vendredi 24 février 2012.

jeudi 2 février 2012

La baguette d’Arudy déchiffrée : Astronomie préhistorique


Transcription de l'interview par Christian Lucet d'E.L. pour le magazine Montréalais underground "Solarisine".

E.L. est l'auteur d'une analyse sur la baguette préhistorique d'Arudy (Sud-Ouest de la France), une baguette datant du magdalénien (17 000 à 9 000 avant notre ère ) retrouvée dans une grotte préhistorique, il en propose un décryptage en ligne en février 2012, ainsi qu'une vidéo sur son site Internet. Sa théorie est que la baguette est le premier calendrier luni-solaire perpétuel et qu'il possède deux sens de lecture représentant un cycle solaire et lunaire infini, les symboles de la baguette ayant une valeur numérique et temporelle.








Il a déjà commis pour Solarisine quelques articles culturels et il nous livre ici sa version des faits !

Solarisine : Pourquoi lâcher vos recherches en pâture sur le net sans les avoir faites valider scientifiquement ?

E.L. : C’est l’objectif « zéro papier », « zéro contrôle » (rires).
Plus sérieusement, j 'ai déjà eu l'occasion d'être diplômé, donc validé pour un travail intellectuel et pour être franc cela ne m'a rien apporté de plus, il n' y a qu'au Canada où j'ai pu trouver un boulot correct après mes études. En France mes seules perspectives étaient le Mac Do ou des stages ad vitam aeternam.

De plus, je trouve que le milieu actuel de la recherche en sciences humaines en France est sclérosé, n'offrant aucune opportunité d'épanouissement personnel, on cherche des scribes et des compilateurs, après un tel formatage, difficile d'avoir des idées novatrices. Quand on doit en plus galérer avec un boulot pour payer ses études comme je l'ai fait, les perspectives sont déprimantes. Le seul avantage que les étudiants du monde entier nous envient, c'est le coût limité de nos études et la qualité de nos enseignants indéboulonnables.

S : Comment définissez-vous votre démarche ?

E.L. : Je me définie comme « ethnologue », car c'est le seul mot connu actuel qui s'approche de ma démarche. Photographe, c'est pour l'appréhension que j'ai des choses, je pense en visualisant, mais je n'ai rien d'un technicien, tout au plus un bidouilleur à l'instinct.

S : Vous sentez-vous artiste ?

E.L. : J'ai trop de respect pour l'art pour me définir comme un artiste, je suis un amateur dans le sens que Stan Brakhage donnait à ce mot.

S : Comment en êtes-vous arrivé à décrypter une baguette du magdalénien ?

E.L. : C'est avant tout une initiative personnelle sur un projet qui me tient à coeur ayant pour sujet ce que l’archéologue Marcel Baudouin appelait « la religion stello-solaire au solutréen ».

S : Quelle a été votre processus intellectuel ?

E.L. : Tout d'abord, je suis passé par la « psychogéographie » situationniste et je me suis familiarisé avec le concept d'errance et de nomadisme. Puis, je me suis débarrassée de toute « idéologie » soixante-huitarde et/ou freudo-marxiste en quittant l'Université française. J'ai pu au fil de mes lectures considérer les nombreux emprunts de Debord à Nietzsche, au niveau d’un monde-apparence, ce qui m'a amené à chercher la vérité, la vérité comme fille du temps comme le disait Pierre Hadot. La notion de cycles aussi a guidé mes recherches . J'ai donc réfléchi à un sujet qui m'intéresse beaucoup pour avoir travaillé avec des enfants autistes, qui est celui de la pensée avant le langage, ou la représentation mentale avant le langage. J'ai ainsi découvert de nouvelles perspectives avec la notion de géographie sacrée, en zone de montagne par exemple, je me suis intéressé aux mythes fondateurs de diverses cultures et leurs résurgences, notamment à travers l'histoire de la pensée et l'histoire de l'astronomie. L'art autochtone canadien m'a aussi beaucoup intéressé lors de mon séjour. La préhistoire me fascinant depuis tout petit, j'ai naturellement fait le lien intellectuel avec tout ce vers quoi je tends depuis l'enfance. J'ai ensuite erré dans les bibliothèques de retour en France, où je fais partie des meubles. J'ai ma place et ma prise électrique dans la médiathèque de mon quartier.

S : Êtes-vous conscient que votre découverte va faire l'effet d'une bombe intellectuelle ?

E.L. : Oui et c'est très bien comme cela.

S : Comment invente t-on un nouveau langage ?

E.L. : J'ai eu des cours « optionnels », comme on dit en France, d'écriture hiéroglyphique, de japonais et de bulgare, ce qui m'a apporté beaucoup d'ouverture d'esprit. Ensuite je n'ai pas « inventé », j'ai juste « observé » et rationalisé. Et ce que j'ai découvert est fabuleux d'ingéniosité. Piette, l'archéologue qui a découvert la baguette avait de suite pressenti qu'il s'agissait d'une « écriture hiéroglyphique » faite de « symboles », pour reprendre ses termes. Il ne s'est pas trop avancé de peur de passer pour un allumé, mais il a « senti » le « solaire » dans l'utilisation de cette baguette, pareil pour Marcel Baudouin, qui lui, voyait dans la grotte de Lascaux la conceptualisation imagée des constellations. Je continue le travail de ces deux précurseurs en quelque sorte.

S : Vous n'avez pas peur de vous « griller » dans la profession avec une telle présentation iconoclaste ?

E.L. : C'est déjà plus ou moins fait, l'environnement culturel dans la région qui est mon habitat naturel est un microcosme. Une mentalité d'allégeance bien française. Je n'en fais pas partie et c'est très bien ainsi. La principale différence avec un « chercheur officiel », c'est que moi je n'ai rien à perdre ni à vendre. Toutes mes recherches sont financées de ma poche et en libre accès sur mon site web avec l'aide de mon webmestre bénévole. Puis, pour tout vous dire, les chercheurs savent ce qu'ils doivent aux « érudits locaux », ils font souvent gagner dix ans d'avance à la recherche « officielle », mais doivent parfois en porter les stigmates, si c'est mon destin, je l'accepte avec le sourire.

S : Vous lancez vos recherches à la face Internet du monde le jour de vos 33 ans, y' a t-il un côté « spirituel » à votre action ?

E.L. : J'aime le penser.

S : Vous reviendrez travailler avec nous si la fin du monde n'a pas lieu en 2012 ?

E.L. : Je pense que l'Escargot-Lune fera renaître le nouveau Soleil-Graine en 2013. Mais je peux me tromper ! (Rires) Donc la réponse est oui, mais j'attendrai l'équinoxe de printemps avant de revenir vous voir, je me souviens du froid (rires).

Montréal, 2012.

Source : Solarisine Février 2012