Interview : écologie préhistorique
Interview en date du 12 avril 2018 sur le blog Solarizine
Extraits de l'interview :
Solarizine : Quoi de nouveau depuis ces 6 ans ?
E.L : Et bien, j'ai continué mes recherches, notamment sur Lascaux ainsi que sur le pendentif de la Grotte à la Roche. Je n'ai eu aucun soutien de la part de la communauté universitaire. Je dois aussi avouer que j'ai été mis sous pression par l'Etat français, notamment avec des agressions multiples, voies de fait et même des vols à mon domicile, par exemple, la carte que l'on voit sur l'écran de ma vidéo du projet initial a été dérobée. Certains camarades de l'Université se sont révélés être particulièrement distants, voire hostiles, surtout avec la cabale qu'a lancé contre moi Rémi Mathis en 2014, ce qui m'a définitivement "grillé" au CNRS. La belle affaire. J'ai reçu récemment un soutien de l'Université de Pau à titre individuel. Mais je n'ai pas eu d'autre choix que l'expatriation pendant trois années.
S : Aucune publication officielle ?
E.L : Non, seulement des encouragements des lecteurs de mon blog concernant mes nouvelles recherches.
S : Parlez-nous un peu de vos nouvelles découvertes.
E.L : J'ai déchiffré le pendentif de la Grotte à la Roche [visible ici, NDR], qui comme la baguette d'Arudy, à des sens de lecture multiples, notamment une fonction multiplicatrice par 3 et par 5.
S : Quel intérêt pour la science ?
E.L : Je prouve simplement qu'il ne s'agit pas juste d'un "churinga" décoré, mais d'un calculateur du magdalénien avec des éléments remarquables pour qui s'intéresse au calcul astronomique préhistorique.
S : De l'écologie avant l'heure ?
E.L : Effectivement, la survie de nos ancêtres dépendait de la connaissance des cycles naturels.
S : Pourquoi cette condamnation de vos recherches, puis cette mise sous silence ?
E.L : Je suis une sorte d'hérétique dans le monde de la préhistoire, en effet, j'affirme que les hommes du magdalénien connaissaient le calcul des révolutions sidérales lunaires ainsi que l’arithmétique : divisions, multiplications. Le pendentif de la Grotte à la Roche signifie sûrement beaucoup plus, ils symbolise à mon sens le calcul temporel "total", au même titre que la baguette d'Arudy. C'est le retour en force de l'ethnologie et les paléographes comme Rémi Mathis ne le digère toujours pas. Ensuite, ce genre d'objets sont très sensibles théologiquement, spirituellement, comme je l'ai déjà dit, la baguette d'Arudy pourrait être "le nom de dieu", au même titre que le pendentif de la Grotte à la Roche.
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